the promised neverland avis

The Promised Nerverland : Mon avis sur le premier tome

Découvrez mon avis sur le premier tome de The Promised Neverland

The Promised Neverland est un manga dessiné par Demizu Posuka et scénarisé par Kaiu Shirai qui est publié depuis 2016 dans le Gekkan Shounen Jump. Le manga compte actuellement 9 tomes reliés au japon et deux sont disponibles chez nous chez Kaze.

Emma et ses amis, tous orphelins, ont été placés dans un établissement spécialisé lorsqu’ils étaient tout jeune. Bien que leur liberté soit limitée et que les règles soient parfois un peu strictes, ils mènent une vie agréable tous ensemble et la femme qui s’occupe d’eux est généreuse. Cependant, une question anime Emma et tous les autres : pourquoi n’ont-ils pas le droit de sortir de l’orphelinat ?

The Promised Neverland est un manga que j’ai commencé un peu sur un coup de tête en écoutant un peu ce qu’il se dit à son sujet, à savoir « c’est génial ». Généralement, je ne tiens pas vraiment compte de ce qu’il ce dit sur les mangas pour m’y mettre, mais il faut avouer qu’en se renseignant deux minutes sur ce manga, on se rend compte qu’il n’est pas dans la lignée des « nekketsu » habituels style Naruto, One Piece ou Black Clover plus récemment. On en est même plutôt loin.

Si j’ai vraiment bien aimé ce premier volume, c’est car, j’ai le sentiment qu’il ne fait qu’effleurer un monde dont on ignore tout ou presque. Le début du manga présente un cadre idyllique dans un orphelinat où tout le monde est joyeux, on va se rendre assez vite que le cadre qu’offre l’orphelinat cache un tout autre motif plutôt sordide.

Qui plus est les personnages offrent de belles perspectives et déjà les trois protagonistes âgés de 11 ans, mais qui sont tous de petits génies. L’intrigue se concentre sur eux en effaçant un peu les autres enfants de l’orphelinat qui sont tous plus jeunes. L’idée de placer des enfants dans un tel cadre fait que l’on s’y attache quasiment tout de suite en étant subjugué par leur ingéniosité. On en viendrait presque à oublier qu’ils ne sont que de jeunes personnes n’ayant même pas commencé la puberté. Il faut savoir que l’autorité dans l’orphelinat est représentée par un personnage appelé « maman » et qui joue ce rôle de manière à cacher l’innommable vérité qui entoure l’intrigue. Cette « maman » va se révéler être un sérieux adversaire pour nos trois jeunes pousses dans un espèce de jeu du chat et de la souris. Et qui plus est, un nouveau personnage qui arrive vers la fin du premier tome apportera une nouvelle couche de danger pour les enfants, mais aussi pour « maman ».