Persona 5 est maintenant disponible depuis le 4 avril. Il s’agissait d’un des titres les plus attendus venant du Japon et il faut dire que je n’en suis pas déçu comme beaucoup d’entre vous. La presse spécialisée est aussi conquise par ce titre qui remet le J-RPG là où doit être sa place.
Pour le coup, si vous n’avez pas encore succomber à la tentation, c’est le bon moment pour jouer à Persona 5.
Persona 5 raconte les conflits intérieurs et extérieurs de lycéens sous tension, le héros du jeu et le groupe d’amis qu’il rencontre au cours de l’histoire, qui mènent une double vie sous le nom de Voleurs Fantômes. En apparence, ce sont des lycéens tokyoïtes tout à fait ordinaires : ils suivent leurs cours, sortent s’amuser après les classes et ont des petits boulots à côté. Mais ils participent également à des aventures extraordinaires en utilisant leurs pouvoirs surnaturels pour pénétrer dans le cœur des gens. Ce pouvoir vient de leur Persona, du nom du concept psychologique décrit par Carl Jung. Les héros du jeu découvrent ainsi que la société force les gens à porter des masques pour dissimuler leurs vulnérabilités, et que ce n’est qu’en arrachant ces masques et en faisant face à leur véritable personnalité qu’ils sont capables de réveiller le pouvoir qui est enfoui en eux, dans le but de s’en servir pour aider ceux qui sont dans le besoin. En fin de compte, les Voleurs Fantômes cherchent à altérer leur quotidien pour qu’il corresponde à leur nouvelle perception, et qu’ils puissent voir à travers les masques de la société moderne.