Lors de l’annonce de SpaceHulk Deathwing, j’ai été assez hypé par le trailer qui montrait un jeu très joli et surtout très nerveux. Et pour cause, il s’agit d’un FPS tactique multijoueur où la coopération est de mise. On y incarne la Deathwing qui est « l’escadron de la mort » chez les Space Marines, une unité d’élite reconnaissable par la couleur blanche de leur armure. On y parcourt les labyrinthiques allées d’un SpaceHulk afin d’exterminer la menace représentée par les Genestealers.
Le titre est développé chez Streum On Studio a qui l’on doit E.Y.E Divine Cybermancy et c’est Focus Home Interactive qui édite le titre. A la base prévue pour arriver durant le mois de novembre, la date de sortie a été repoussée au 9 décembre prochain sur PC (le jeu arrivera sur console durant 2017). Et pour le coup, c’est une phase de bêta ouverte (à ceux qui on précommander le jeu) qui vient de débuter.
Ce qui m’a donné l’occasion de poser mes petites mains sur le jeu pour la première fois et mes premières impressions sont assez mitigées. Alors une fois en jeu, la bêta nous invite à lancer le tutoriel qui explique les bases du gameplay. Et pour le coup, il lève le voile sur certaines choses que j’ai trouvé intéressantes. Tout d’abord, on sent tout le poids de l’armure de notre avatar, on le ressent dans les animations (un poil trop rigide), les déplacements, les attaques de corps et c’est une très bonne chose. On va pouvoir sélectionner une arme à feu parmi la pléthore disponible ainsi qu’une arme de corps à corps. Selon la classe que vous jouez, vous débloquez des compétences actives/passives au fur et à mesure que vous engrangez de l’expérience en tuant des Genestealers et que vous montez en niveau. Vous pouvez d’ailleurs jouer totalement en solo à SpaceHulk Deathwing, vous serez alors accompagné de bots, à qui vous pourrez donner des ordres via une roue, des ordres du genre « va ouvrir cette porte », « soigne moi » ou encore « suis-moi ».
Une fois le tuto terminé, je me suis donc lancé dans ma première partie qui a bien mis 5 minutes à charger. Etant accompagné de 3 randoms, j’ai donc commencé par choisir ma classe parmi les 5 disponibles. Cependant, n’espérez pas trouver d’explications précises sur leur fonctionnement (ou tout cas ce n’est pas très clair). Une fois que tout le monde à choisit sa classe la partie se lance. Et on se retrouve téléporter sur une carte avec un objectif qui s’affiche à l’écran, il suffit tout simplement de s’y rendre en détruisant tout ce qui se trouve sur le passage de votre escouade. Première surprise, le jeu est plutôt joli et assez fluide, le gameplay est très défouloir, mais pas aussi dynamique que d’autres FPS cela se comprend aussi car tu ne peux pas te déplacer comme les pilotes de Titanfall avec une armure comme celle que possède les Space Marines. Pour équilibré cela, vous serez souvent soumis à rudes épreuves par le nombre d’ennemis qui vous font face et croyez moi, c’est impressionnant.
Aux rayons de ce qui m’a un peu rebuté, c’est le côté « viellot » du jeu, en ce qui concerne toute l’interface, des menus qui ne sont pas du tout ergonomique et qui sont très moches, il faut le dire. Loin de là l’idée de me faire un avis définitif, je vais attendre gentiment la sortie du titre. Allez encore quelques jours à patienter.
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