Découvrez mon avis sur le premier tome du manga Oneira
Oneira est un Global Manga que nous devons au duo Cab (pour le scénario ) et Federica di Meo (pour le dessin. C’est Kana qui propose ce manga qui compte deux tomes sorties au moment où j’écris ces lignes.
Sortis des tréfonds de nos esprits après une lente agonie, les cauchemars ont pris vie. Animés par le seul désir d’anéantir leurs hôtes, ces monstres aux multiples formes sont devenus un fléau à éradiquer.
Face à cette menace, le Saint-Siège a fondé la caste des Epeires qu’il érige comme son bras armé, devenu désormais la seule lueur d’espoir dans un monde de ténèbres.
C’est à cet ordre qu’Arane a prêté serment, elle en est alors devenue l’une des membres les plus renommés. La célèbre chasseuse de songes que tous connaissent sous le nom de « Croque-Mitaine ».
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Mon avis perso sur le premier tome
J’ai vraiment bien aimé ce premier tome de Oneira. J’aime beaucoup la manière dont le titre utilise la dark-fantasy et surtout le dessin. Durant la lecture de ce premier tome, j’avais comme des rappel qui m’ont faisait penser à la fois à The Arms Peddler dont l’héroïne Garami me fait beaucoup penser à Arane (plus sur le caractère des héroïnes que pour leur design), la protagoniste de Oneira et Trinity Blood (plus généralement sur le dessin). Pour autant, ce titre arrive à poser un véritable univers où notre héroïne, mercenaire et épéiste émérite ne va pas combattre dans le but de détruire, mais dans le but de protéger sa fille qui porte un lourd secret.
Ainsi ce premier tome se décompose de manière simple, la première partie va nous permettre de découvrir qui est Arane Heos en nous montrant qu’il ne faut pas blaguer avec elle. On est clairement loin de la demoiselle en détresse. J’aime aussi le fait que le visage d’Arane durant cette phase soit assez tiré comme pour perdre le lecteur en lui faisant croire qu’il s’agit d’un homme. La seconde partie de ce tome prend une tournure plus calme où l’on va en découvrir un peu plus sur Arane, mais surtout sur les codes du monde qui l’entour. Cela va aussi être l’occasion de découvrir Bastionne, son page (ou valet) ainsi que la manière dont ils se sont rencontrés. La dernière partie introduit les éléments qui vont à mon sens supporter toute l’histoire de ce manga.
Clairement, j’ai bien aimé ce premier tome d’Oneira, un manga qui fait la part à l’action sans oublier de poser des bases. J’attends encore de savoir comment les choses vont se passer dans le second tome.